Mon titre peut paraître paradoxal, mais comme le paradoxal règne partout, je confirme. Un petit village, une vieille église, une ruelle, pour ne pas employer "petite rue" des amoureux, bref, un décor à la Peynet, ou plutôt à la Poulbot. Une porte entrouverte, un sourire entrouvert, une main qui se tend, un timide "bonjour" auquel je répond par un timide "bonjour". C'est l'instant de la découverte, et c'est important la découverte. J'ai devant moi Ch...Gains....Mais en mieux, en plus détendue, je ne le lui dirai que plus tard, un verre d'eau, elle m'explique des choses que je n'entend pas, je la regarde, j’acquiesce. Je suis ses directives, qui sont toutes suaves, je me plie a ses volontés, qui correspondent aux miennes, je ferme les yeux, le temps s'éloigne, la musique rythme l'espace mais pas le temps, seul mon corps est là, mon esprit est ailleurs, il regarde d'en haut, il sent en triple ce que ma peau reçoit. Il est le catalyseur du rêve, il reçoit et enjolive, mon corps tressaille, et lui en sourit. il sait alors se faire oublier, et le laisser seul s'oublier de bonheur. Un verre d'eau, une ruelle, la vieille église, rien ne s'oubliera.....